RT by @ilanacicurelrem: Naama Levy, 19 ans : l’image d’elle sortant d’un coffre, les mains attachées dans le dos, déboussolée, les talons d’Achille ensanglantés car ses agresseurs ne voulaient pas qu’elle puisse s’enfuir, l’arrière de son pantalon ensanglanté avec des hommes qui se bousculent pour passer devant, qui se disputent pour la toucher, la réserver … nous laissant imaginer le pire pour cette jeune fille qui rêvait de paix.

Voici ses mots : « j’ai décidé de rejoindre le mouvement : Hands of peace (les mains de la paix), parce que je veux entendre l’autre côté. Nous vivons tellement près les uns des autres mais on ne se parle pas. ». Je suis tellement désolée pour elle qui a dû tomber de haut avec ses rêves de paix, le pire qu’on puisse vivre, elle le vit. Cette image me hante. Elle m’habite.

À la place de sa main tendue, elle a rencontré la barbarie.

Elle est vivante, elle fait partie des otages dont personne ne parle, dont les portraits sont arrachés. À la place on a des manifestations pour empêcher au final que cette jeune fille rentre chez elle, qu’elle retrouve sa famille, et je me demande en écrivant ces mots si sa famille est vivante. Ces manifestants demandent d’arrêter d’aller chercher les otages. Que faut-il faire ? L’abandonner ? Elle et les 200 otages encore vivants ? Les abandonner ?

Quel dialogue espérer avoir avec les membres du Hamas lorsqu’on sait qu’ils sont capables d’une cruauté infinie renforcée d’un sadisme absolu., lorsqu’on sait qu’ils opèrent en meute, qu’ils violent en meute, qu’ils frappent avec des bâtons des corps nus en meute …

Les dirigeants du Hamas, des millionnaires ne sont pas à Gaza, ils sont à l’étranger ainsi que leurs familles dans des résidences de luxe. L’un des dirigeants a redit que les Gazaouis mourront en martyrs car le peuple palestinien est un peuple de martyrs.

La question que je me pose, comment d’un côté avons n…

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[2023-11-06 23:56 UTC]