ROSE DE LA SAINT-VALENTIN : AU NOM DU LIBRE-ECHANGE
"Il y a 10 ans, j'ai dû abandonner la production de roses à cause de la concurrence déloyale".
Vous ne verrez plus vos roses de la Saint-Valentin de la même manière 😉 Maxime Clément produisait des roses. Mais depuis que les roses kenyanes ont envahi le marché européen, il n'est plus compétitif et a dû se diversifier. Le cout de production y est deux fois moins cher là-bas, avec des pesticides interdits sur le sol européen. Le tout pour les faire transporter en avion. Bref un concours "l'épine" de la bêtise du libre-échange.
Une folie environnementale et sociale. Que l'UE et la France s'apprêtent à inscrire dans le marbre en signant un accord de libre-échange avec le Kenya dans l'indifférence générale.
Alors on va ramener les fleurs de Maxime à Bruxelles aux amoureux du libre-échange pour qu'ils entendent les conséquences directes de leurs décisions : la mise en péril de la filière horticole française.
Pour que les années prochaines, vos fleurs de la Saint-Valentin ne viennent pas de l'autre bout du monde ! 😉
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[2024-02-14 14:44 UTC]